Huawei a introduit un module 3G pour comprimés très différents de ce que nous avons vu sur le marché jusqu'à présent. Le principal avantage de ultra-bâton c'est que ce sera possible créer une version 3G de la tablette avec un coût supplémentaire très faible et pas de grosses têtes d'alimentation pour les fabricants. On s'explique.
Jusqu'à présent, il n'y avait que deux options pour prendre en charge une connexion tablette 3G. La meilleure option est d'avoir dès le départ un SoC doté de la puce nécessaire pour établir des connexions sur les réseaux mobiles, il vous suffit ensuite de laisser de l'espace dans la conception pour l'emplacement SIM. Cela implique généralement d'utiliser un SoC différent de la version avec uniquement le WiFi et donc une refonte du châssis. En d'autres termes, c'est une option coûteuse.
L'autre option consiste à utiliser un adaptateur USB qui ne convainc généralement pas les utilisateurs en raison de l'inconvénient du volume supplémentaire sur un appareil mobile.
Huawei UltraStick opte pour une troisième voie. Le fabricant n'aura qu'à partir l'espace alloué à un slot de port, il sera installé ce porte-carte qui transformez n'importe quelle tablette Wi-Fi en Wi-Fi + 3G.
Les coûts de conception pour l'adaptation nécessaire sont beaucoup plus faibles. Sa taille est très petite, juste 65 x 35 x 3,3 mm, c'est-à-dire sous forme de petite carte. Les constructeurs n'auront qu'à laisser un emplacement vide pour l'Ultrastick dans le modèle avec WiFi et y placer ce complément dans ceux à capacité 3G.
La solution de Huawei prend en charge les réseaux tels que HSUPA / HSDPA / WCDMA à 2100 (900/850) MHz et EDGE / GPRS / GSM à 1800 +900 MHz.
El le premier appareil à l'intégrer sera le Chuwi V99X un modèle à bas prix qui possède un écran de type Retina en termes de résolution et de rapport hauteur/largeur et qui possède une puce Rockchip RK3188 qui à l'origine ne prend pas en charge la 3G.
source: Liliputing